André Markowicz a su remplir le vide qui séparait le Master i Margarita des années 1930 de sa traduction de 1968, par laquelle fut introduit en France ce chef-d’œuvre de la littérature russe.
Boulgakov, immense homme de scène, écrit d’un russe vivace et volontiers populaire qu’André Markowicz, rompu à la traduction de textes de théâtre, approche en osant un lexique aux accents d’oralité.